Mon organisation au quotidien pour nourrir Karlos au cru
Nourrir Karlos au cru demande une vraie organisation, surtout quand on veut que tout soit fait proprement, efficacement, et sans stress. Avec le temps, j’ai mis en place une routine bien rodée que je partage ici, pour celles et ceux qui souhaitent s’y retrouver plus facilement dans le raw feeding.
Je vous explique comment je gère les commandes de viande, la préparation des rations, les règles d’hygiène que j’applique, et les différentes solutions de conservation que j’utilise. Je vous parle aussi de l’organisation à prévoir quand on part en vacances avec un chien nourri au cru, et de l’importance des bilans sanguins réguliers pour s’assurer que tout est équilibré.
Cette rubrique est là pour vous donner des repères concrets, issus de mon expérience au quotidien avec Karlos. Avec un peu d’anticipation et les bons outils, tout devient plus simple — et surtout, beaucoup plus serein.
🧊 Le matériel indispensable pour se lancer dans le Raw Feeding
Avant même de passer commande sur un site spécialisé en alimentation crue, il est essentiel de s’équiper correctement. Le Raw Feeding demande un peu d'organisation, surtout au début, pour pouvoir préparer les rations de façon efficace, hygiénique et sans stress.
Voici la liste du matériel de base à prévoir :
✅ 1. Un congélateur adapté
Prévois un congélateur suffisamment grand pour stocker au minimum un mois de rations. En fonction de la taille de ton chien et de son poids de ration quotidienne, cela peut vite représenter un volume conséquent. Un congélateur coffre est souvent plus pratique qu’un congélateur armoire.
✅ 2. Une balance de cuisine précise
Indispensable pour peser chaque ingrédient avec exactitude : viande musculaire, os charnus, foie, autres abats. Cela permet de respecter les proportions adaptées à ton chien.
✅ 3. Un couteau à huîtres
Oui, tu as bien lu ! Le couteau à huîtres est très utile pour séparer certaines carcasses ou morceaux difficiles à ouvrir, comme les têtes ou certaines articulations osseuses.
✅ 4. Des sacs de congélation solides
Opte pour des sacs de minimum 3 litres, bien hermétiques, pour congeler chaque ration ou groupe d’ingrédients. Prévois-en en quantité suffisante pour faire tes préparations en avance.
✅ 5. Une planche à découper dédiée
Il est important d’avoir une grande planche à découper uniquement réservée à la viande crue pour éviter toute contamination croisée.
✅ 6. Un bon plan de travail dégagé et spacieux
Prévois de l’espace pour organiser les découpes, les pesées et la mise en sachets. Travailler à l’aise permet d’aller plus vite et de gagner en efficacité.
✅ 7. Des produits d’entretien désinfectants
La propreté est primordiale. Utilise des produits ménagers désinfectants, des éponges et des torchons réservés à la préparation des rations. On manipule de la viande crue : l’hygiène doit être irréprochable, pour la santé de ton chien… et la tienne !
L’hygiène pendant la préparation des rations : une étape essentielle
Quand on nourrit son chien au cru, il ne suffit pas d’avoir de bons produits : l’hygiène pendant la préparation est tout aussi importante. On manipule de la viande crue, parfois du poisson ou des abats, donc on doit avoir une rigueur absolue pour éviter toute contamination croisée, que ce soit pour nous, pour notre chien ou pour l’environnement.
Avant de commencer
Dès la réception des cartons ou des emballages, je fais attention à ne jamais les poser sur la surface où je vais préparer les rations. Ces cartons ont été manipulés, transportés, posés un peu partout, donc ils ne doivent jamais entrer en contact avec l’espace de travail.
Je me lave systématiquement les mains après avoir manipulé les emballages. Ensuite, je nettoie et désinfecte le plan de travail que je vais utiliser : pas juste un coup d’éponge, mais un vrai nettoyage avec un produit adapté. J’utilise des torchons et des éponges propres, réservés uniquement à la préparation des rations (et que je lave ensuite à haute température).
Je vérifie mon matériel avant de me lancer
Avant d’ouvrir le moindre sachet de viande, je vérifie que tout est prêt :
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mes couteaux sont bien aiguisés et propres,
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ma balance est propre et bien calibrée,
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mes récipients de pesée sont propres et secs,
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mes sachets de portionnement ou contenants de congélation sont prêts,
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je prévois un sac poubelle ou un récipient pour les déchets à proximité,
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je mets aussi à disposition du papier absorbant ou des essuie-tout pour essuyer les mains ou les surfaces au fur et à mesure.
Un tablier propre peut aussi être utile, surtout si on prépare en grande quantité.
Pendant la préparation
Je travaille de manière organisée, en gardant une bonne séparation entre les viandes, les abats, les os charnus, etc. Je fais attention à ne pas poser un couteau ou une cuillère souillée sur une surface propre. Je me lave régulièrement les mains, surtout si je passe d’un type de viande à un autre.
Je ne laisse jamais la viande traîner trop longtemps à température ambiante. Si je fais une grosse préparation, je sors les produits au fur et à mesure pour limiter la rupture de la chaîne du froid.
Après la préparation
Une fois tous les sachets faits et rangés au congélateur, je nettoie et désinfecte minutieusement tout le matériel utilisé :
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plan de travail,
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couteaux,
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balances,
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bols,
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contenants,
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éponge,
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évier.
Je lave tout à l’eau chaude avec un produit désinfectant ou du vinaigre blanc, puis je sèche bien. Les torchons utilisés sont immédiatement lavés à part à 60°C minimum.
Je finis par un dernier nettoyage du sol, surtout s’il y a eu des éclaboussures ou si un bout de viande est tombé.
Commander la viande de Karlos : mon organisation pour ne jamais être prise de court
L'un des points clés du raw feeding, c’est l’anticipation. Il ne suffit pas d’avoir de la motivation : si on ne prévoit pas ses stocks à l’avance, on peut vite se retrouver dans le pétrin… et devoir courir en urgence chez le boucher pour acheter de la viande hors de prix.
Avec le temps, j’ai mis en place une routine simple et efficace pour commander toute la viande de Karlos un mois à l’avance. Voici comment je m’organise.
1. Je calcule ses besoins pour le mois
Tout part de sa ration journalière. Une fois que je sais combien Karlos mange chaque jour (en grammes), je multiplie par 30 jours pour obtenir la quantité mensuelle totale. Ensuite, je répartis les proportions selon les règles du raw feeding :
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os charnus,
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muscle,
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abats,
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et foie (souvent compté à part car il ne représente qu’une petite fraction).
Je note chaque catégorie et son poids exact. Cela me donne une vision claire de ce que je dois commander.
2. Je fais ma commande en ligne, en gros
Je passe mes commandes sur un site spécialisé en raw feeding, qui propose de la viande adaptée à nos compagnons. L’idée est de commander en gros, pour optimiser les prix au kilo et éviter d’avoir à recommander toutes les deux semaines.
Avant de valider, je vérifie que le poids total de ma commande correspond bien aux besoins mensuels de Karlos, avec la bonne répartition entre muscle, os et abats.
💡 Petite astuce : pensez à vérifier les stocks disponibles sur le site avant de tout calculer — parfois certains produits sont temporairement indisponibles.
3. Si possible, je fais une commande groupée
Quand je peux, je m’organise avec d’autres propriétaires de chiens dans ma région pour faire une commande groupée. C’est un excellent moyen de réduire les frais de port, qui peuvent vite grimper en transport réfrigéré. On se répartit ensuite la viande à la réception, en fonction de ce que chacun a commandé.
4. Je prends en compte les délais de livraison
C’est un point important : entre la validation de la commande, la préparation et la livraison par transporteur réfrigéré, il faut compter en général une bonne semaine. C’est pour ça que je me mets un rappel automatique dans mon téléphone ou mon agenda, tous les mois, pour penser à passer commande au moins 10 jours avant la date à laquelle je dois reconstituer les rations.
Ne pas anticiper, c’est risquer de se retrouver sans rien, ou de devoir acheter de la viande au dernier moment chez le boucher — et là, autant dire que ce n’est pas le même prix…
5. Je vérifie ma capacité de stockage
Avant de commander, je m’assure aussi que mon congélateur est prêt à accueillir toute la viande. S’il est encore plein, je réorganise un peu pour faire de la place. L'idéal est d’avoir un congélateur dédié au chien, surtout quand on commande en grosse quantité. Il faut aussi prévoir la place pour les rations déjà portionnées, si vous préparez tout à l’avance (ce que je fais personnellement, pour gagner du temps au quotidien).
En résumé
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Calculez les rations mensuelles précisément
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Commandez en gros pour le mois complet
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Vérifiez bien les quantités avant validation
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Groupez vos commandes si possible
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Anticipez les délais de livraison
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Prévoyez un rappel pour ne pas oublier
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Vérifiez la capacité de votre congélateur
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Avec un peu de méthode, la commande de viande devient une routine bien huilée. C’est un gain de temps, d’argent, et surtout, ça permet d’assurer à votre chien une alimentation constante et de qualité, sans mauvaise surprise.
Conservation des rations : rigueur et bon sens pour éviter les erreurs
Quand on nourrit son chien au cru, la conservation de la viande est un point à ne jamais négliger.
Pour moi, c’est simple : tout est congelé dans un gros congélateur dédié à Karlos. C’est la seule façon de garantir la fraîcheur, la qualité sanitaire, et d’avoir toujours les rations prêtes sous la main.
La chaîne du froid : jamais rompue
La viande commandée sur internet arrive déjà congelée dans un camion réfrigéré. À réception, je m’assure qu’il n’y a pas eu de rupture de la chaîne du froid : la viande doit encore être bien dure et froide.
Dès que le carton est ouvert, je transfère tout immédiatement au congélateur, sans traîner. S’il y a le moindre doute sur une odeur suspecte, une couleur étrange ou une texture douteuse : je ne prends aucun risque.
👉 Quand il y a un doute, il n’y a pas de doute : direction la poubelle.
Vérifier et tracer les lots
Par sécurité, je note systématiquement dans un petit cahier les numéros de lot de chaque commande. Ça peut paraître exagéré, mais en cas de problème, cela me permet de remonter l’information au fournisseur rapidement. On est jamais trop prudent avec la viande crue. Cela montre aussi notre sérieux en tant que client.
Attention au poisson !
Si vous donnez du poisson à votre chien (et que vous ne l’avez pas commandé déjà congelé), soyez très vigilant. Le poisson acheté en poissonnerie doit absolument être congelé au minimum 15 jours, avant d’être donné cru.
Pourquoi ? Pour deux raisons :
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Éliminer tout risque de parasites.
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Neutraliser la thiaminase, une enzyme présente dans certains poissons, qui détruit la vitamine B1 (thiamine). Une carence en B1 peut entraîner perte d’appétit, amaigrissement, troubles cardiaques et neurologiques.
⚠️ Les poissons les plus riches en thiaminase : carpes, brèmes, thons albacore.
✅ Ceux qui en contiennent peu : truite, saumon, sprat, maquereau de l’Atlantique.
👉 Pas de panique non plus : dans une alimentation crue variée et bien équilibrée, le risque de carence reste minime. Mais la congélation reste obligatoire avant distribution.
Décongélation : toujours au frigo
Je prépare toujours la veille pour le lendemain, et je décongèle les rations dans le réfrigérateur. Jamais à l’air libre, jamais dans l’évier ou dehors, même en hiver. On reste dans la chaîne du froid jusqu’au bout, pour éviter tout développement bactérien.
Une fois la viande décongelée, elle doit être consommée dans les 24h. Si le chien n’a pas tout mangé, je garde au frigo et lui repropose le soir, mais jamais au-delà. Je ne recongèle jamais une viande déjà décongelée.
En résumé :
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Tout est congelé dès réception
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On ne rompt jamais la chaîne du froid
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On note les numéros de lot
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Poisson acheté frais = 15 jours minimum au congélateur
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Décongélation uniquement au réfrigérateur
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Viande douteuse = on jette sans hésiter
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Un congélateur dédié, bien organisé, c’est l’idéal
La rigueur dans la conservation, c’est non seulement une question de santé pour nos chiens, mais aussi de tranquillité d’esprit pour nous. Une bonne préparation = zéro stress au quotidien !
Partir en vacances avec un chien nourri au cru : mission impossible ? Pas du tout !
C’est en vacances qu’on mesure jusqu’où on est prêt à aller pour son chien… et je dois avouer que voyager avec les rations de Karlos, ça demande un peu d’organisation, mais rien d’insurmontable quand on s’y prépare bien.
Le congélateur en location : priorité numéro 1
Quand je cherche une location pour les vacances, le premier critère (avant même la piscine ou la vue sur mer 😅), c’est : y a-t-il un congélateur ?
Et pas juste un petit bac dans un frigo table-top : un vrai compartiment congélateur, capable de stocker au moins 10 jours de viande.
En général, le congélateur d’un grand frigo familial suffit pour 10 jours de rations. Mais je ne me contente pas de deviner : je contacte toujours le propriétaire pour poser la question clairement, voire demander une photo si besoin.
👉 Astuce : certaines locations proposent des congélateurs indépendants (notamment en gîte ou à la campagne), il suffit de demander gentiment à l’avance.
Le transport de la viande : anticipation et matériel
Pour le trajet, j’ai investi dans une grosse glacière électrique branchée sur l’allume-cigare de la voiture. Franchement, c’est un indispensable. Même pendant les pauses sur la route, elle garde la viande au frais pendant des heures, même éteinte, tant qu’on ne l’ouvre pas toutes les 10 minutes et qu’on évite de laisser la voiture en plein soleil.
Je complète avec :
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des sacs isothermes,
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des cartons épais doublés,
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et des pains de glace bien congelés.
Avec ce système, je peux faire 8 à 10h de route sans que la viande ne commence à décongeler, même en plein été. Le tout, c’est de bien organiser le chargement : les pains de glace autour, la viande au centre, le tout bien compacté pour limiter les échanges thermiques.
👉 Autre astuce : je garde toujours un thermomètre dans la glacière pour surveiller la température intérieure pendant les longs trajets.
Sur place : je gère comme à la maison
Une fois installée, je transfère immédiatement les rations dans le congélateur de la location, et je continue ma routine habituelle :
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préparation la veille,
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décongélation au frigo,
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et nettoyage rigoureux comme à la maison.
Par sécurité, j’emmène aussi :
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du vinaigre blanc,
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un torchon propre,
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une éponge neuve,
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et mes petits ustensiles (couteau, balance, bol).
On est jamais trop prudent, surtout dans une cuisine qu’on ne connaît pas.
En résumé :
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Toujours vérifier la présence d’un vrai congélateur avant de louer
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Prévoir une glacière électrique + pains de glace pour le transport
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Limiter les ouvertures et garder la glacière à l’ombre
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Anticiper la quantité exacte de viande selon la durée du séjour
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Emporter un kit minimum d’hygiène et de préparation
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Garder une organisation stricte, même en vacances
Franchement, avec un peu d’habitude, partir avec un chien nourri au cru devient une routine, pas une galère. Et puis… voir son chien en pleine forme, même en vacances, ça vaut largement quelques kilos de viande à trimbaler en plus !