

Remerciements
Avant tout, une pensée pour mon tout premier Dobermann, Raoul. Parti bien trop tôt, à peine âgé de 2 ans, dans un terrible accident. C’est grâce à lui que j’ai découvert cette race incroyable et que j’ai osé me lancer dans ma toute première exposition, sans aucune prétention. Le destin a parfois de drôles de clins d’œil : ce jour-là, Raoul s’est classé 2ᵉ, juste derrière le père de Karlos… que je ne savais pas encore être celui de mon futur compagnon. Je me souviens m’être dit : « Wouah, qu’il est beau ce chien ! »
Quand Raoul est parti, j’étais complètement désemparée. Et c’est à ce moment-là que Karlos est entré dans ma vie.
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Avec lui, tout a changé. J’ai dû tout repenser : mon approche de l’éducation, ma relation avec mes chiens, et cette passion dévorante qui s’est révélée. Parfois, j’aime croire que c’est Raoul qui m’a envoyé Karlos pour apaiser ma peine et m’ouvrir la voie.
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Je tiens aussi à remercier chaleureusement Dominique Brébion et sa femme Nathalie. Ils ont partagé avec moi tant de savoir et d’expérience lors de ces trois premières années : les expositions, leur fonctionnement, les stratégies, les astuces pour viser tel ou tel titre… sans oublier leur confiance et leurs conseils précieux.
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Un immense merci également à Franck, qui a su donner à Karlos la confiance nécessaire dans le travail de mordant et l’a guidé pour apprendre à mordre correctement, ce qui nous a permis de réussir nos tests de travail.
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Et puis, il y a toutes ces personnes formidables rencontrées grâce au monde du Dobermann et à nos voyages à travers l’Europe. Certaines m’ont conseillée, d’autres m’ont tendu la main, et d’autres encore m’ont fait confiance en choisissant Karlos comme étalon. À chacune et chacun d’entre vous : merci.
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Et bien sûr, un merci tout particulier à mon mari, qui me soutient dans chacune de mes aventures avec Karlos, avec toute la patience, les concessions et les sacrifices que cela demande — qu’ils soient financiers, liés aux absences, ou simplement au temps investi. Sans ton appui, rien de tout cela ne serait possible.
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L’aventure est loin d’être terminée. Je sais qu’elle me mènera encore vers de nouvelles rencontres, de nouvelles amitiés et de nouvelles histoires à partager.